CHARTERED ACCOUNTANT : AUDIT CONTRACTUEL AU MAROC
Qu’il s’agisse d’audit légal ou d’audit contractuel, chez AAFIR, Expert-comptable Commissaire aux comptes, Audit contractuel à Tanger – Tétouan – Maroc, nous pouvons émettre une opinion sur votre information financière qui vous permet de bénéficier de services à forte valeur ajoutée. Nous sommes un cabinet d’audit, d’expertise comptable et de conseil, inscrit au tableau de l’Ordre des Experts Comptables du Maroc.
L’objectif de l’audit contractuel est d’exprimer une opinion sur la régularité et la sincérité de vos comptes et sur l’image fidèle qu’ils donnent du résultat des opérations ainsi que sur la situation financière et patrimoniale de votre société conformément au référentiel international en matière d’audit. L’audit contractuel peut être demandé par l’entreprise, par les actionnaires ou par des tiers. Cette mission est définie par les normes internationales de l’IFAC.
En effet, il peut être établi conventionnellement que les états de synthèse seront retraités pour être en harmonie avec d’autres normes :
(a) Normes comptables internationales
(b) Normes comptables d’un pays déterminé
(c) Normes comptables d’une entité ou groupe d’entités déterminé.
Les qualités requises de l’auditeur : compétence, indépendance, qualité du travail, secret professionnel, …
L’auditeur a une obligation de moyens, non de résultat.
La responsabilité de l’auditeur ou commissaire aux comptes ne peut être mise en œuvre que s’il a commis une faute dans l’exercice de ses fonctions de contrôle et qu’il existe un lien de causalité direct entre la faute éventuellement commise et le préjudice éventuellement subi.
La démarche d’acceptation du mandat pour toute nouvelle mission proposée au commissaire aux comptes peut se faire selon les étapes suivantes :
– prise de connaissance globale de l’entreprise,
– appréciation de l’indépendance et de l’absence d’incompatibilités,
– examen de la compétence disponible pour le type d’entreprise concernée,
– contact avec le commissaire aux comptes précédent, s’il y a lieu,
– décision d’acceptation du mandat,
– respect des autres obligations professionnelles découlant de l’acceptation du mandant.
L’auditeur définit alors contractuellement les modalités de son intervention dans le cadre d’une lettre de mission qu’il adresse à son client. Cette lettre de mission présente : les besoins formulés par le client, l’objectif de la mission, les moyens mis en œuvre, le planning d’intervention, le mode de facturation.
Le commissaire aux comptes apprécie le contrôle interne de l’entreprise en fonction de son objectif de certification des états de synthèse. En conséquence, il ne procédera à une étude et à une évaluation du contrôle interne que pour les systèmes conduisant à des comptes significatifs qu’il a identifiés lors de la phase de planification de sa mission.
Pour atteindre ses objectifs, le commissaire aux comptes dispose des techniques suivantes :
(a) l’inspection physique et l’observation qui consistent à examiner les actifs, les comptes ou à observer la façon dont une procédure est appliquée ;
(b) la confirmation directe qui consiste à obtenir directement, auprès des tiers qui entretiennent des relations commerciales ou financières avec la société, des informations sur le solde de leurs comptes avec l’entreprise ou sur des opérations effectuées avec elle ;
(c) l’examen des documents reçus par l’entreprise et qui servent de justificatifs à l’enregistrement des opérations ou à leur contrôle : factures fournisseurs, relevés bancaires … ;
(d) l’examen des documents créés par l’entreprise : copie de factures clients, comptes, balances, rapprochements. Certains de ces documents peuvent avoir un caractère plus probant que d’autres ;
(e) les contrôles arithmétiques ;
(f) les analyses, estimations, rapprochements et recoupements effectués entre les informations obtenues et documents examinés et tous autres indices recueillis ;
(g) l’examen analytique qui consiste à :
– faire des comparaisons entre les données résultant des états de synthèse et des données antérieures, postérieures et prévisionnelles de l’entreprise ou d’entreprises similaires et établir des relations entre elles ;
– analyser les fluctuations et les tendances ;
– étudier et analyser les éléments inhabituels résultant de ces comparaisons ;
(h) les informations verbales obtenues des dirigeants et salariés de l’entreprise.
L’auditeur met en œuvre sa mission d’audit contractuel en rassemblant des éléments probants nécessaires pour tirer des conclusions sur lesquelles se fonde son opinion.
Le rapport établi selon le modèle prévu par les normes de la Profession est adressé à l’organe de gestion de la société (conseil d’administration, gérance …).
NB : en commissariat aux comptes, les aspects relatifs à l’audit légal s’appliquent également pour l’audit contractuel.
Expert-comptable DPLE
Commissaire aux comptes
Avenue de Fes
90000 Tanger – Maroc
+212 6 61 47 35 42